Ca y est : j'ai un coup de blues, donc je regarde une série animée pas particulièrement futée. Une série courue où l'on devine dès le début que la personne principale, très gentille mais vraiment banale, va finir sa vie dans les bras d'un véritable dieu (et là, en l'occurrence, véritable est bien le mot. Je me demande qui sera capable de retrouver le titre dudit manga avec pareille description... parce qu'attention, il y a un piège, hein !)
C'est le genre de série légère comme de l'hélium qui fait du bien quand on n'a pas trouvé (ou pas réussi à convaincre) la super célèbre âme soeur afin qu'elle accepte de se joindre à nous pour de nouvelles aventures. Le shojo, modèle manga du genre, en est l'incarnation parfaite.
Bon, en soit, c'est sans doute une faiblesse parfaitement excusable (quoique peu divulguable en soit. Je n'irai pas crier "I love shojos" sur tous les toits, et surtout pas en France, où ils ne comprennent pas l'anglais).
Le truc, c'est que je suis en train de regarder la version pour homme.
La version hugolienne, si vous préférez : au lieu de cendrillon et du prince charmant romantique, ils nous font le coup du ver de terre amoureux d'une étoile de porno.
De là, deux déductions s'imposent : ou bien je déteste vraiment les shojos (ce qui n'est pas faux), ou bien j'aime bien les seins.
Ou bien je suis homme qui ne sait pas compter ; mais là encore, ça fait un paradoxe.
Ou bien je suis homme qui ne sait pas compter ; mais là encore, ça fait un paradoxe.
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